You are currently viewing Les machines à sous un peu retro

Les machines à sous un peu retro

Les machines à sous sont très sollicitées par toutes les personnes qui sont amoureuses des jeux de casinos physiques ou en ligne. Depuis la création des machines à sous, elles ont connu de réelles progressions. Il serait donc intéressant de revoir les toutes premières machine à sous, leurs origines et leurs évolutions au cours du temps. Voici à cet effet un aperçu des machines à sous un peu rétro, de leurs origines et de ce qu’ils sont devenus au fil du temps.

La Horseshoe, la plus vieille des machines à sous

Encore appelée « fer à cheval » en français, la Horseshoe a vu le jour, grâce au père fondateur des jeux de casino unique : Charles August Fey (vers la fin du XIXe siècle). Il était mécanicien en fonction dans une entreprise de fabrication des télégraphes et des téléphones, la California Electric Works Company.

En 1894, il démissionne de son travail et devient le responsable d’une entreprise d’électricité. C’est suite à cela, qu’il invente la toute première machine à sous ancienne qu’il nommait Horseshoe.

En 1895, il a amélioré le modèle de la machine et en a produit une seconde nommée « 4-11-44 » qui fonctionne sur le principe de 3 roulettes concentriques. Cette dernière lui réussit bien, car ils étaient présents dans tous les bars et un peu partout dans le pays. Dans la combinatoire, ces machines n’offraient cependant qu’une centaine de possibilités.

Charles August Fey finit par mettre en vente sa société d’équipements de communications et créa une société de machines à sous sur Market street. Voici entre autres l’évolution des slots par la suite :

  • slot mécanique,
  • slot électronique,
  • slot 3d,
  • slot originel.

L’invention de la machine à sous Horseshoe a favorisé celle des machines à sous qui ont suivi.

La Card Bell, la première machine à sous mécanique

Ce modèle de machine à sous a également été inventé par Charles August Fey. En effet, il créa en 1898 la Card Bell, qui en 1899, après amélioration, revient sous forme compacte et en métal, il s’agit du modèle Liberty Bell.

Cette nouvelle trouvaille était constituée d’un moteur (effectuant les tirages), d’un bac à pièce (pour la récupération des gains), d’un écran, etc. Elle était d’autant plus spéciale, car on y retrouvait un millier de combinaisons et elle a innové par la mise en place du paiement automatique. De plus, les roues sont remplacées par des rouleaux. Sur ces derniers, étaient posés des symboles tels que :

  • le cœur,
  • la cloche de la liberté,
  • le carreau,
  • l’as de pique,
  • le fer à cheval.

Le succès de ces machines à sous a suscité l’intérêt de plusieurs autres entreprises. Une forte concurrence en a découlé, donnant lieu à la naissance de machines à sous plus performantes.

La machine à sous-électronique, son fonctionnement

C’est Bally qui en 1963, a introduit sur le marché les machines à sous-électroniques. Il en existe plusieurs types dont les pokers, les machines à rouleaux classiques, les machines à rouleaux vidéos, les multijeux, etc. Cette machine électrique émet du son et possède un générateur de nombres aléatoires qui est toujours utilisé de nos jours.

Encore appelée Money Honney, cette invention, en intégrant les rouleaux électroniques, conserve le levier. Pratiquement tous les jeux de casinos modernes sont électroniques. Avec leur rapidité étonnante, les rouleaux peuvent effectuer plus de 16 millions de coups par cycle.

Sa stylique et son fonctionnement sont pratiquement les mêmes que celles des slots mécaniques. En effet, grâce à son cycle de combinaisons, la machine à sous-électronique fait une liste des combinaisons possibles. Dès que le joueur y insère l’argent et lance le jeu, une combinaison est alors choisie de façon aléatoire puis affichée. La combinaison obtenue est ensuite réintégrée dans le cycle, afin de mettre chaque tour de jeu dans les mêmes conditions. Pour plus d’informations, connectez-vous à https://www.machinesasous.info/.

Cette machine peut posséder un bouton, un bandit manchot ou un écran tactile pour lancer le jeu. Les symboles, les bonus et les différentes combinaisons obtenues, peuvent ensuite être affichés sur des écrans vidéos.

Il en existe plusieurs catégories, dont les machines à Poker, les slots à rouleaux classiques et les slots à rouleaux vidéos.

La machine à Poker

Ce jeu se déroule habituellement en deux phases.

Dans un premier temps, le jeu met à la disposition du joueur 5 cartes à jouer qu’il aura la possibilité de garder ou de jeter. Le joueur doit réussir à l’aide de ces cartes, à former une combinaison gagnante. Dans un second temps, les cartes que le joueur aurait décidé de jeter sont remplacées par d’autres cartes de façon aléatoire. Sur la base des cinq nouvelles cartes obtenues, le jeu annonce si le joueur est victorieux ou non.

Si le joueur gagne le jeu, il a la possibilité de jouer son gain en une ou plusieurs fois.

Machines à sous classiques

Celles-ci sont encore moins récentes et possèdent généralement entre 3 et 5 rouleaux mécaniques. Néanmoins, de nouveaux modèles font leur apparition sur le marché. Il s’agit notamment des machines à rouleaux classiques intégrés dans un écran LCD. Ce dernier montre les rouleaux et permet d’afficher des images vidéo autour de ceux-ci.

Les symboles qui étaient généralement présents aux jeux de casinos sont les combinaisons de cartes, les étoiles, les barres et quelques chiffres. Il eut néanmoins l’apparition de nouveaux symboles historiques comme la menthe, la cerise, la prune, l’orange, le citron et la pastèque, afin de rendre les jeux plus attractifs.

Cependant, les machines à rouleaux classiques disparaissent progressivement et laissent place aux machines à rouleaux vidéos.

Machines à sous vidéos

En général, les machines à rouleaux vidéos présentent cinq ou six rouleaux vidéos sur un haut écran vertical, ou même deux, placés l’un en dessous de l’autre. Ces écrans peuvent parfois être tactiles. Ces machines proposent des jeux aux symboles et parfois des jeux bonus interactifs qui sont totalement indépendants des rouleaux.

Par ailleurs, ils proposent des jeux de vidéos Pokers (Deuces Wild, All American Poker, Aces and Eight, Joker Poker) pour amateur et aussi des jackpots progressifs (Caribbean Stud Poker, Caribbean Hold em Poker et Caribbean Draw Poker). La touche des programmeurs constitue également un atout non négligeable dans cette progression puisqu’il existe désormais des versions électroniques de ces machines à sous.

Les machines à sous ont connu de véritables évolutions progressives depuis la Horseshoe jusqu’aux machines à sous 3d. Aujourd’hui, les sonorités et les graphismes étant variés, chacune des machines à sous possède des spécificités et propose des jeux avec des milliers de combinaisons de jeux possibles.

Émilie Bernard

Madame Émilie Bernard prend en charge la gestion des ressources humaines chez TechInno Solutions. Son approche attentionnée favorise un environnement de travail positif et soutient le développement professionnel des employés.

Laisser un commentaire